Le Tour de France

Le Tour de France

Epreuve cycliste la plus prestigieuse au monde, « Le Tour » ou encore « la Grande Boucle », tel qu’on le nomme en France ne cesse de susciter passion et intérêt depuis sa création. Retour sur cet évènement d’ampleur mondiale. Histoire du Tour de France C’est Géo Lefèvre, alors chef de la rubrique cyclisme du journal L’Auto qui a eut l’idée de cette course.Henri Desgrange, son directeur l’a alors suivi. Le 1er juillet 1903, 60 cyclistes s’élancent de Montgeron avec leur bicyclette. Après 6 étapes démesurées (Nantes – Paris, 471 km !), seuls 21 cyclistes, parviennent au terme de cette 1ère épopée. Après avoir très vite évoqué surprise et admiration aux spectateurs, le Tour a captivé à travers le journal L’Auto. En même temps qu’il se faisait connaitre de son public, les spectateurs étaient de plus en plus fidèles sur les bords des routes. Les Français se sont dès lors pris de passion pour leurs héros « cyclistes ».En plus de l’attachement à leurs champions, ils se sont appropriés cette épreuve qui met à l’honneur leurs villes, leurs campagnes et depuis 1910, leurs montagnes. Fédérateur de performance et d’émotion, le Tour a surtout vécu avec son temps. Les hauts : congés payés, 30 glorieuses et extension mondiale. Mais aussi les bas : première et seconde guerre mondiale, faits divers : dopages, médiatisation. Les premières éditions du Tour de France avaient l’apparence d’une boucle, la course effectuant plus ou moins le tour du pays. Le départ était alors donné de Paris, qui était également l’arrivée finale de la course. Le parcours du Tour de France a conservé un schéma de « Tour de la France » jusqu’en 1951. Après cette date, de nouvelles obligations ont amené les organisateurs du Tour à quitter ce schéma. La télévision, la construction européenne, la demande du public, la promotion des villes et la dimension commerciale du Tour de France en faisaient parties.Aussi, le Tour en montagne avec le premier col à gravir fut effectué dès 1903. D’autres étapes sont désormais à l’ordre du jour : étape de montagne, étape accidentée, étape de plaine et étape contre-la-montre. La couleur des maillots Les vainqueurs de cette compétition cycliste se distinguent par une classification par couleur de leurs maillots : maillot jaune pour le leader du classement général au temps, maillot vert pour le leader du classement par points. Les points sont en jeu lors du sprint intermédiaire et aux arrivées d’étape. Le maillot blanc à gros pois rouges est porté par le leader du classement de la montagne. Par ailleurs, les points de la montagne sont attribués au passage aux sommets de toutes les difficultés classées.Le maillot blanc est lui porté pour les jeunes de 25 ans et moins (pour l’année en cours) au meilleur du classement général au temps.  Enfin, il y a un classement par équipes au temps et un challenge de la combativité. Aujourd’hui, le Tour de France dure trois semaines. Il est divisé en une vingtaine d’étapes.

Recette du pain perdu – French toast

Vous voulez vivre comme un français mais avec un tout petit budget? On vous donne une recette sympa, gourmande, pas chère et facile: le French toast!

10 clichés des étrangers sur les Français

Intéressons-nous aux Français et plus particulièrement à l’image qu’ont les étrangers d’eux! Bon comme mauvais, ces clichés nous permettent toujours de rire ou de nous remettre en question. Cliché 1 : Les Français sont des feignants Les Français ont pour réputation d’être de fâcheux râleurs, toujours insatisfait. Conséquence : la grève ! Il est vrai qu’à l’étranger, en écoutant les échos, les transports en commun français notamment la SNCF n’ont guère bonne réputation.…mais ce n’est pas qu’eux, les Français ont des droits et aiment se faire entendre. Et quand ce n’est pas les grèves ce sont…les vacances; toujours au repos ces français! A noter néanmoins que si les Français travaillent un peu moins que les autres nationalités, ils sont parmi les plus productifs du monde. Cliché 2 : Les Français sont sales Pour les étrangers, l’hygiène des Français laisse à désirer. Certains pensent même que les Français mettent du parfum pour cacher leur odeur. Cette idée vient peut-être de l’époque de Louis XIV : le roi et sa cour couvraient leurs odeurs corporelles par du parfum. Mais ce stéréotype ne peut pas vraiment être sûr et certain; en fait de nombreux touristes étrangers pensent cette idée car les toilettes de brasseries ou les métros parisiens manquent en effet souvent de propreté et d’hygiène. Un récent sondage montre toutefois que 20% des Français oublient la douche quotidienne et se contentent de se laver un jour sur deux. 3,5% ne prennent qu’une douche par semaine, alors que 11,5% se douchent plusieurs fois par jour. Cliché 3 : Les Françaises ne s’épilent pas Particulièrement sous les bras! Ce cliché totalement dépassé tire ses racines de la Seconde Guerre mondiale. A l’époque, sous l’occupation et les bombardements, les femmes avaient d’autres priorités que de se raser.Pour les français, c’est plutôt les Allemandes.. Finalement, c’est toujours plus fourni chez la voisine… Cliché 4: Le béret, la baguette, la marinière et le vin Les Français seraient vêtus de la tête d’un béret, du haut du corps d’une marinière et porteraient une baguette et du vin à la main.Ce cliché vient du fait que le port du béret est perpétué par les paysans de certaines régions, les artistes ou encore intellectuels. Il a aussi été la coiffe des réalisateurs de cinéma jusque dans les années 1980.Les étrangers ainsi pensent de la même façon qu’ils pensent à la Tour-Eiffel : un Français sans baguette n’est pas un Français et Paris sans la tour Eiffel n’est pas Paris. Cliché 5 :  Les Français sont malpolis On dit à l’étranger que le Français est un éternel insatisfait. Les étrangers reprochent aux Français d’être malpolis, trop fiers et hautains avec ce besoin de toujours comparer le pays des autres avec le sien.Selon un sondage de la compagnie aérienne Skycanner, les Français sont particulièrement connus pour leur attitude brusque et sèche envers les touristes étrangers.  Mais n’oublions pas que beaucoup d’étrangers viennent à Paris qui a les défauts « d’une grande ville où les gens ne sont pas accueillants. Mais Paris n’est pas la France ». Serait-ce les Parisiens qui sont si méchants? Le charme de Paris et son architecture unique peut faire des envieux certes, mais les Français sont attachés aussi à leurs paysages, leur histoire, leurs vins, la mode, le patrimoine artistique et ils le revendiquent… peut-être trop. Cliché 6 : Les Français : sophistiqués et chics Dans l’imaginaire des étrangers, la France représente la sophistication, le chic.Les Français sont vus comme cultivés, raffinés, en partie grâce à la réputation de leurs musées, artistes et autres intellectuels. Enfin, du coté culinaire, la réputation de la gastronomie française n’est plus en reste. D’ailleurs, la gastronomie française figure depuis 2010 au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On dit que les Français vivent pour manger tandis qu’ailleurs on mange pour vivre.La femme française serait quant à elle, une femme toujours à la pointe de la mode et des dîners mondains. Cliché 7: Les Français sont galants et romantiques La réputation de Paris, capitale mondiale du luxe, de la mode et des amants se déteint sur les Frenchies!On dit que les Français sont romantiques, galants et attentionnés et plus évocateur encore, la réputation du « French lover » ou du « french kiss » n’est plus à démentir. Quant aux Françaises, elles sont considérées comme coquettes, ayant du goût mais qui sont aussi faciles à s’ouvrir qu’une fleur dans la rosée du matin.Cette image d’une France « délicate et charmante » va de pair avec ses peintres, écrivains, créateurs de mode, chefs culinaires qui s’opposent à l’image héroïque du mâle américain tel que Superman, Lance Armstrong ou le cowboy. Cliché 8: Les Français sont petits Ce cliché existe depuis Napoléon et n’a vraisemblablement pas été changé depuis. Or, sur 1 siècle, les Français ont grandi de 11 cm et les Françaises de 8 cm. Ainsi, avec une moyenne d’1m76 pour les hommes, les Français devancent les Allemands (1,75 m), les Japonais (1,70m) ou que les Jordaniens (1,65m). En revanche, les Américains (1,80m), les Suédois (1,77m) et les Tchadiens (1,82m) sont plus grands. Cliché 9: Les Français fument Mis à part leur arrogance, c’est la cigarette qu’on retient des Français. L’image des Français fumeurs ne peut être enlevée aux étrangers : elle existe, elle est réelle puisque 30% de la population française âgée de 15 à 85 ans consomme du tabac (données de l’INPES). Un chiffre (malheureux) qui n’atteint cependant pas le niveau de certains Européens comme les Grecs. Cliché 10 : Les Français sont « trouillards et lâches » C’est un autre cliché qui nous vient de la Seconde Guerre mondiale. A l’époque, la France avait succombé à l’Allemagne nazie, alors que l’Angleterre avait résisté aux bombardements.De nombreuses blagues se sont particulièrement accrues lorsque Dominique de Villepin a exprimé la non-participation de la France dans la cause irakienne. Et vous, vous en avez d’autres clichés sur les Français ? Malgré les clichés, voici des arguments qui sauraient vous convaincre de venir apprendre le français en France !

Conte de Noël : le petit bonhomme de pain d’épices

Noël est une période pleines de traditions : les marchés de Noël, les décorations du sapin, le calendrier de l’avent ou encore les cadeaux… Il y a aussi les contes de Noël! Les enfants se réunissent autour des adultes pour écouter un conte fantastique. Les ateliers FL ont choisi de vous conter l’histoire du petit bonhomme de pain d’épices. Le petit bonhomme de pain d’épices  Une vieille femme était dans la cuisine en train de préparer du pain d’épices. Avec la pâte, elle façonna un petit bonhomme. Elle dessina des yeux avec deux petits raisins secs. Elle lui dessina aussi un nez, un sourire et utilisa des pépites de chocolat pour faire les boutons de son habit. Puis elle le mit à cuire. Au bout d’un moment, elle entendit tambouriner à la porte du four… Elle l’ouvrit et d’un seul bond, le petit bonhomme de pain d’épices sauta hors du four. La vieille dame fut très surprise. Elle voulut le rattraper, mais il lui échappa en criant :– « Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m’attraperas pas car je suis le bonhomme de pain d’épices. »Elle courut après lui dans le jardin. En arrivant sur la route, le petit bonhomme de pain d’épices rencontra une vache. La vache s’approcha, mais le bonhomme de pain d’épices cria, sûr de lui : –  » J’ai déjà échappé à une vieille femme. Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m’attraperas pas car je suis le bonhomme de pain d’épices. ». La vache et la vieille dame coururent après lui sur la route Le bonhomme de pain d’épices rencontra alors un cheval. – « Arrête-toi dit le cheval, je voudrais te goûter. »Mais le bonhomme de pain d’épices répondit:– « J’ai déjà échappé à une vieille femme et à une vache. Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m’attraperas pas car je suis le bonhomme de pain d’épices. » Le cheval, la vache et la vieille dame coururent après lui. Il rencontra des paysans qui rentraient du foin. Ils le regardèrent tous passer. Et le bonhomme de pain d’épices leur cria :–  » Courez, courez, aussi vite que vous pouvez ! Vous ne m’attraperez pas car je suis le bonhomme de pain d’épices. »Les paysans rejoignirent la vieille femme, le vieil homme, la vache et le cheval. Le bonhomme de pain d’épices se sentit très fort et lorsqu’il rencontra un renard, il lui dit :–  » Cours, cours, aussi vite que tu peux ! Tu ne m’attraperas pas car je suis le bonhomme de pain d’épices. » Alors le rusé renard lui répondit :–  » Mais je ne veux pas t’attraper ! » Un peu plus loin, le bonhomme de pain d’épices dut s’arrêter devant une rivière large et profonde. Le renard qui avait vu la vieille femme, la vache, le cheval et les paysans qui poursuivaient le bonhomme de pain d’épices, lui proposa :–  » Monte sur mon dos, je te fais traverser la rivière. » Confiant, le bonhomme de pain d’épices monta sur le dos du renard qui commença à nager. Au milieu de la rivière, là où l’eau est profonde, le renard ordonna :–  » Monte sur ma tête, bonhomme de pain d’épices ou tu vas être mouillé. »Le bonhomme de pain d’épices se mit debout sur la tête du renard. Mais lorsqu’ils arrivèrent de l’autre côté de la rivière, sains et saufs, le renard brusquement ouvrit la gueule et, MIAM !, il avala le petit bonhomme de pain d’épices. On n’en a plus jamais entendu parler depuis… Si vous aimez les histoires, voici deux autres histoires écrites par nos étudiants cette fois-ci. Bonne lecture !

Street Art à Paris

Le Street Art ou « Art Urbain » est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisées dans la rue ou dans des endroits publics. Il concerne plusieurs techniques : Graffiti, réclame, pochoir, mosaïques, stickers ou les installations. C’est un art éphémère vu par un grand public. A Paris, le Street Art est un art démocratisé. On trouve de nombreuses peintures ou graffitis partout dans la ville. Dans cet article, on vous donne les endroits où les plus belles œuvres de street art sont pour découvrir un « autre » Paris, le Paris artistique. 7ème arrondissement Mur de Gainsbourg : De nombreux collages, pochoirs et tags naissent chaque jour sur ce mur et rendent hommage à cet artiste incontournable. 10ème arrondissement 24 rue Alibert / Rue du Faubourg du Temple / Rue Jacques-Louvel Tessier / Rue de Sambre et Meuse Tous les trois mois, le dixième arrondissement met à disposition quatre murs à des artistes pour exprimer leurs talents. 11ème arrondissement Rue Dénoyez : Une rue haute en couleur avec de nombreuses galeries et ateliers, un mur entier où de nombreux graffeurs repeignent constamment et expriment sous toutes leurs formes leur talent. Le M.U.R : Toutes les deux semaines, un artiste différent est affiché sur ce M.U.R (Modulable Urbain Réactif). Rencontre conviviale entre le public qui vient boire un verre et les artistes qui détournent les codes publicitaires. Le Cyclop : Dans cette petite rue, l’artiste Cyclop a décidé de laisser son empreinte sur du mobilier urbain : un œil coloré sur le dessus et les potelets en zèbres, crocodiles, girafes, léopards, grenouilles… 12ème arrondissement Skate Park de Bercy : De nombreux graffeurs viennent exprimer leurs talents sur les murs de ce skate park qui est devenu un véritable lieu de Street Art. 13ème arrondissement Les Frigos : Anciennes immenses chambres froides qui servaient à stocker les denrées transportées par les trains. Aujourd’hui, les Frigos sont un lieu de création et de production artistique et artisanale. Expositions, rencontres et spectacles ouvrent leurs portes au public chaque année, au Printemps. Rue Jeanne d’Arc : Un mix entre des portraits et des vues d’architecture, Jana&Js, un couple d’artiste, ont effectué des fresques sur des immeubles entiers. Le rendu est simplement splendide ! Boulevard Vincent Auriol : C215, est l’un des artistes les plus prometteurs du street art. Il nous fait une démonstration de son art sur un mur avec une vision révolutionnaire et très colorée. Un univers qu’il nous fait partager pour notre plus grand plaisir des yeux. 18ème arrondissement Mur de l’Européen : Sur la façade de l’européen, plusieurs artistes se sont réunis pour repeindre celle-ci et la rendre impressionnante. Un mur en face du théâtre a été également investi. Rue Ordener : Un immense mur rempli de créations toutes plus différentes les unes que les autres mais toutes aussi surprenantes et imaginatives. Une beauté se renouvelant souvent car c’est un « spot » où les artistes aiment s’exprimer. 19ème arrondissement C’est le premier arrondissement où les graffitis et le street art se sont développés à Paris. Point Ephémère : Un endroit agréable où il est possible de boire un verre. Mais aussi de voir un concert, une exposition mais surtout d’admirer ces lieux où de nombreux artistes viennent s’exprimer. Bonom : Rue Traversière (12ème) et Rue de Crussol (11ème). Un artiste mystérieux, anonyme grimpe sur les toits de Paris pour réaliser des animaux fantasmagoriques. Si ce genre d’articles vous intéressent, on vous propose aussi : Paris vue du ciel.

La fête de la musique en France !

Guitare

Comme chaque année, la fête de la musique annonce l’arrivée de l’été en France. Cette fête populaire a été créée en 1982 par le Ministre de la Culture de l’époque, Jack Lang, elle a lieu le jour le plus long de l’année, le 21 juin, jour du solstice d’été, autrefois fête païenne de la Saint Jean.

Deux histoires écrites par nos étudiants.

~ ~ Mêlant créativité et apprentissage du français, nos étudiants des ateliers FL Bordeaux du groupe de niveau A1 ont imaginé pour vous ces 2 histoires mêlant intrigue et paysage bordelais. Bonne lecture !

La recette du pain d’épices

Pour un Noël plein de douceur… C’est l’une des recettes traditionnelles des fêtes de fin d’année. Nature avec votre thé, accompagné de confiture ou de miel au petit déjeuner ou toasté avec du foie gras, le pain d’épices est LA recette incontournable de Noël! Voici une version simple de la recette du pain d’épices à refaire chez vous pour épater vos invités. Les ingrédients : 250g de farine 1 sachet de levure 250g de beurre fondu 125g de sucre 4 oeufs 4 cuillères à soupe de miel  Les épices : 1 cuillère à café de cannelle, 1 cuillère à café de gingembre moulu, 1 cuillère à café de muscade , 1 cuillère à café d’anis vert. Les épices peuvent aussi être remplacées par 4 cuillères à café de « mélange spécial pain d’épices » que l’on peut trouver dans les supermarchés. La préparation : Préchauffer le four à 180°C Mélanger le beurre fondu avec le sucre Ajouter les œufs un à un en remuant à chaque fois Mélanger la levure à la farine et l’incorporer petit à petit Ajouter les cuillères de miel et les épices. Mélanger pour faire une pâte bien homogène Verser dans un moule à cake préalablement beurré Enfourner 40 minutes à 180°C et vérifier la cuisson avec la pointe du couteau. Bon  appétit ! Si votre gourmandise n’est pas encore rassasiée, nous vous proposons la recette de la galette des rois ! Et parce qu’il est important de ne pas gaspiller la nourriture, voici quelques solutions pour utiliser les restes de votre pain d’épices !

Tradition de Noël : les 13 desserts provençaux

Chaque région a une tradition spécifique pour Noël. Les ateliers FL ont décidé de vous emmener en Provence, pour découvrir une tradition vieille de plusieurs siècles :  les treize desserts provençaux de Nice. L’origine de cette tradition Au XVIIe siècle on servait déjà de nombreux plats sucrés aux invités durant la période d’hiver car c’était un signe d’abondance. Ce n’est que plus tard que l’on fixe à 13 le nombre des desserts. Ce nombre est associé à la Cène, le dernier repas du Christ aux côtés de ses 12 apôtres. Le repas de Noël provençal Pour commencer, le repas traditionnel débute lors du réveillon de Noël. La famille se réunit pour le « Gros Souper » composé généralement de 7 plats légers (poissons, soupes, légumes, etc.).Puis vers minuit, ou après au retour de la messe pour les familles croyantes, on présente les 13 desserts. Ils sont disposés sur une table à 3 nappes blanches superposées et entourés de 3 bougies. Chaque dessert est dressé dans une assiette différente. Les 13 desserts Tout d’abord, rassurez vous, tout n’est pas mangé le soir même. La tradition veut que les desserts restent à disposition pendant trois jours. Ainsi, les gourmands auront jusqu’au 27 décembre pour se régaler.La liste peut varier en fonction des villes. Voici aussi les recettes pour faire vous-mêmes les 13 desserts provençaux : en cliquant ici. Et pour rester dans l’esprit de Noël et de ses spécialités gastronomiques, voici la recette de la bûche de Nöel !

La recette du vin chaud

Mais d’abord, un peu d’histoire ! Les premières traces dans l’Histoire du vin chaud datent de l’empire romain, en l’an 20 après J-C. Il portait alors le nom de Conditum Paradoxum. A l’époque pour le fabriquer, les Romains mettaient du miel à bouillir dans du vin, puis y étaient ajoutés des épices (poivre, laurier, safran), et des dattes. C’était donc la première recette de vin chaud ! Aujourd’hui elle a un peu évoluée, et on vous explique comment le faire à la maison. Pour un Noël plein de saveurs… En France, pas de Noël sans vin chaud ! Son odeur très agréable d’agrumes et d’épices nous envoûte chaque année sur les marchés de Noël. Si vous ne connaissez pas, il faut absolument y goûter ! Voici d’ailleurs une recette du vin chaud savoureuse et très simple à réaliser : Les ingrédients pour un bon vin chaud : Une bouteille de vin rouge Un citron bio Une orange bio 100g de miel Un bâton de cannelle 3 clous de girofle Une pincée de muscade râpée Une badiane La préparation du vin chaud : 1. Râper les zestes du citron et de l’orange 2. Verser le vin dans une casserole, ajouter le miel et les épices. Porter à ébullition puis couper le feu et couvrir. 3. Laisser infuser pendant 1 heure 4. Réchauffer et filtrer avant de servir A la vôtre ! Et si vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire du vin chaud, vous pouvez cliquer ici. Cette recette du vin chaud se marie très bien avec un en-cas spécial fête de fin d’année : le pain d’épices ! L’abus d’alcool est dangereux pour la santé – à consommer avec modération

Dernière mise à jour de la page : 21/07/2023

Des questions sur nos programmes ?

Nos conseillers vous répondent par téléphone.